Ma voisine est une bourge qui a la trentaine et qui s'ennuie considérablement. Son mari, vrp, n'est jamais à la maison. Moi, si et je la mate derrière les rideaux ou plutôt, elle se laisse mater. Hier, elle faisait des essayages de sous-vêtements devant la fenêtre de sa chambre, rideaux ouverts. Elle sait que je guette et ça l'excite: Elle enfile ses bas en nylon tout doucement, c'est pareil pour ses guêpières, ses soutien-gorges et ses petites culottes. J'y suis donc allé au culot et je me suis mis aussi devant ma fenêtre, rideaux ouverts et j'ai sorti ma bite qui bandait jusqu'au ciel, décalotée. je me suis ensuite masturbé doucement. Bien sûr, elle a tourné la tête et m'a vu. Elle a sourit et m'a fait un signe de la tête qui voulait dire de la rejoindre. Je suis donc passé par le jardin, puis par une haie ouverte qui relie nos maisons. C'était ouvert, je suis rentré chez elle et je suis monté à l'étage où elle m'attendait. Elle était allongée sur son lit, en bustier et bas nylon crystal. je me couche à côté d'elle et je lui roule des pelles bien baveuses, je lui lèche les oreilles, les coup et le haut des seins. Le silence règne, aucu de nous deux n'a dit un mot. Je fais glisser son string et je mordille son clito avant de lui assainer de grands coups de langue. Elle pousse ma tête très fortement dans sa chatte et elle commence à gémir. Moi, je n'en peux plus. Je sors ma bite tendue à bloc et je la pénètre sauvagement pendant dix bonnes minutes. Elle jouit comme une malade sans dicontinuer et me griffe les fesses. A la suite de ça, je retire ma queue toute violette de son vagin puis je me branle sur ses seins. Quatre gros jet de sperme viennent maculer ses seins blancs et ses sous-vêtements. Toute la partie de baise s'est déroulée sans qu'un seul mot soit échangé!. Je remonte mon pantalon, refais le chemin à l'envers et rentre chez-moi "ni vu, ni connu". Putain qu'un pied ! Ce que je viens de vous raconter est une histoire VRAIE !