• MA TANTE

    Quand j'étais plus jeune je me suis toujours demandé si c'était Contre-nature de baiser sa tante? J'étais alors un jeune homme, travaillé par sa libido, je me fichais éperdument de ces principes à la con, surout que la tata était bandante et qu'elle me reluquait de manière cochonne. Un jour je me suis jeté sur elle et je lui ai écarté les cuisses au maximum. Elle portait des bas beiges d'une finesse très agréable au toucher et un porte-jarretelles noir en soie. Elle n'eut aucune réaction de colère ni de surprise, elle était inerte, sans réaction et se laissait caresser en révulsant des yeux. Je dégarffai alors son chemisier d'où émergeaient deux joyaux de la nature, des seins gros et fermes aux bouts longs et raides. Je mangeais avec bonheur ces deux glandes à m'en remplir totalement la bouche. Elle soupirait mais ne m'interdisait rien. Puis elle se lava du canapé où je l'avais allongée et baissa mon pantalon. Ma queue était raide et dure, gland sorti et gluant. Elle enfourna tout dans sa bouche et je connaissais la première pipe de ma vie. Une merveille, quelque-chose d'indéfinissable. Elle était encore muette mais active à la tâche. Je sentais monter en moi le sperme, le même qui jaillissait partout quand je me branlais et je sortais vite de ses lèvres. Elle dégraffa sa jupe et orienta mon pénis au centre de son vagin. Je m'agitais dans des va-et-vient nerveux et je prenais la mesure de la douceur d'une chatte féminine. Je roulais des pelles à Tantine à lui arracher sa bouche charnue et rouge. Elle, elle me caressait avec ses ongles les fesses et le dos, en gloussant discrètement, de plaisir j'espère. Puis ne pouvant plus retenir ce liquide qui montait à toute vitesse de mes testicules, je lâchais tout à l'intérieur de son sexe. Je sentais une multitude de jets partir de ma bite. Je grognais d'une jouissance inconnue par moi jusqu'à lors. Tata pinçait ses lèvres et respirait de plus en plus fort. Je n'avais plus rien à éjaculer mais je restais au chaud dans le bien-être de ce premier vagin que je pénétrais. Ma tante me dit enfin quelques mots : "lève-toi et va-t-en, ça ne se fait pas ce qu'on vient de faire". Je me rhabillais donc en hâte et je sortais de la maison un peu gêné mais tellement soulagé !! LES MERES SALOPES DE NOS POTES

    « Orgie chez les mécanosCochonnes chez le médecin »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :